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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 12:00
 

J.A.-Gamache

Vous êtes prêt à écrire un grand discours. Vous avez tout fait pour éviter les distractions. Il n'y a que vous et votre ordinateur... mais rien ne se produit. Vous êtes en panne d'inspiration ! Que faire pour s'en sortir ? C'est simple. Réchauffez-vous en écrivant quelque chose, n'importe quoi !

Commencez en écrivant n'importe quoi. Faites-vous la promesse de ne pas arrêter d'écrire pour les 30 prochaines minutes par exemple. Ça n'a pas d'importance si ce que vous écrivez n'a aucun rapport avec votre sujet. L'important ici est de commencer à écrire. Après un certain temps vous serez réchauffé et l'inspiration viendra. Voici quelques idées à développer lorsque vous êtes en manque d'inspiration.

1- RÉPONDEZ À LA QUESTION SUIVANTE : « DE QUOI AI-JE PEUR ?

Est-ce possible que vous soyez bloqué simplement parce que vous avez peur de quelque chose ? Par exemple, la peur de l'échec ou même la peur du succès peuvent paralyser tous vos efforts d'écriture. Répondez à cette question : " Qu'est-ce qui peut mal tourner si j'ai de l'inspiration ?". Essayez une réponse même si ça ne fait pas de sens. Ce qui compte ici c'est que vous commenciez à écrire.

2- ÉCRIVEZ SUR CE QUI VOUS PRÉOCCUPE EN CE MOMENT

Ce n'est peut-être pas une peur mais quelque chose de difficile que vous vivez présentement et qui occupe toutes vos pensées. Lorsque vous êtes préoccupé, c'est une bonne chose de le mettre sur papier simplement pour en libérer votre esprit. Si c'est le cas, écrivez sur ce sujet !

3- ÉCRIVEZ SUR CE QUE VOUS RESSENTEZ PRÉSENTEMENT

Si rien ne vous préoccupe alors que ressentez-vous présentement ? Vous ennuyez-vous ? Êtes-vous en colère contre vous-même parce que vous n'avez pas d'inspiration ? Vous sentez-vous vide ? Il n'y a pas de bon sujet d'écriture. Placez vos doigts sur le clavier et écrivez ! ! ! Un point c'est tout.

Essayez l'exercice mentionné plus haut. Imposez-vous d'écrire sans arrêt pour une certaine période de temps. Au début, votre texte peut ressembler à un charabia incohérent cependant parmi toutes ces bizarreries vous trouverez ça et là une idée géniale. L'important ici est de commencer à écrire et après quelques minutes vous ferez naître votre inspiration.

Bon discours !

 

©MMXI J.A.Gamache
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Tous droits réservés.


 

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Cette reproduction a été autorisée par J.A. Gamache, conférencier international. Pour vous abonner à son magazine électronique GRATUIT ou pour en savoir plus sur ses présentations, visitez : http://www.jagamache.com/


 
 
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2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 12:00
 

J.A.-Gamache

Faites l'inventaire de vos histoires personnelles. Vous savez? Toutes ces anecdotes qu'on aime raconter entre amis ou en famille. Vous trouverez dans cette liste une quantité surprenante de sujets intéressants de discours.

J'entends souvent le commentaire suivant : " J'aimerais parler en public mais je ne sais pas vraiment de quoi parler. " Pourtant, saviez-vous qu'il existe un grand nombre de petites histoires, faciles d'accès, que vous pourriez utiliser comme sujet de votre prochain discours ?

Ces histoires uniques sont dans votre mémoire. Elles font partie de votre vécu. Vous ne devez pas sous-estimer la valeur de vos expériences de vie. Vous avez en vous une quantité impressionnante d'anecdotes qui valent la peine d'être racontées ! Vos mésaventures pourraient illustrer de grandes leçons de vie et vos succès sont autant de sources d'espoir que nous gagnerions tous à entendre.

Il y a un grand avantage à utiliser vos histoires personnelles : elles sont déjà prêtes à être présentées en public. Pourquoi sont-elles prêtes ? Parce que vous les connaissez bien et que vous avez eu la chance de les pratiquer maintes et maintes fois durant vos réunions de famille ou lorsque vous êtes entre amis.

Bien que nous ayons tout ce matériel à notre portée, souvent lorsque vient le temps d'écrire, nous ne nous souvenons pas de ces histoires parce qu'elles n'ont simplement jamais été répertoriées.

Voici ce que je vous propose :

1 – FAITES L'INVENTAIRE DE TOUTES VOS HISTOIRES PERSONNELLES

Écrivez la liste de toutes vos histoires personnelles qui vous viennent en tête. Vous n'avez pas besoin d'écrire le texte ! Vous connaissez déjà l'histoire par cœur. Quelques mots suffiront. Par exemple : Mordu par le chien du voisin.

2 – NE VOUS CENSUREZ PAS

Écrivez tout. Notez aussi les anecdotes que vous ne voulez pas partager avec un public. Vous n'avez qu'à écrire en code si vous avez peur qu'on reconnaisse ces aventures. Il est important de tout écrire parce qu'une histoire secrète pourrait vous faire penser à une autre histoire qui, elle, vaut la peine d'être racontée.

 

3 – GARDEZ SUR VOUS UN PETIT CALEPIN ET UN CRAYON EN TOUT TEMPS

Les prochaines fois que vous participerez à une conversation, vous entendrez des choses qui, par association d'idées, vous remémoreront d'autres anecdotes du passé. C'est à ce moment que votre petit calepin vous sera utile. Notez-les immédiatement. Vous les rajouterez plus tard à votre liste.

Une grande quantité d'histoires personnelles sont stockées dans votre mémoire. Il suffit de trouver la bonne façon de les faire remonter à la surface et d'en faire une liste.

Ainsi, vous pourrez consulter ce répertoire la prochaine fois que vous cherchez un sujet de discours. De plus, vous n'avez pas à vous limiter à vos histoires personnelles. Vos parents, grands-parents et amis sont autant de sources qui pourraient enrichir votre liste...

Bon discours !
 

 

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 12:00
 

J.A.-GamacheVoici un truc pour vérifier si vous avez écrit une bonne transition lorsque vous enchaînez les idées de votre discours. Au début de chaque idée, imaginez que vous ajoutez l'expression : " En parlant de... ".

On m'a souvent fait le commentaire suivant lorsque je donnais des discours. " Je comprends ce que tu veux dire mais tes liens ne sont pas clairs. Ça ne coule pas. "

Pourtant, mon texte était très clair à mes yeux. Je ne comprenais pas. On avait beau m'expliquer, je n'arrivais même pas à voir où mes liaisons étaient boiteuses !

Une bonne amie qui est auteure m'a donné un truc tout simple me permettant de repérer facilement les liaisons faibles ou inexistantes. Elle m'a dit : Si tu peux commencer une idée par : " En parlant de.... " et que ça a encore du sens alors tu as écrit une bonne transition.

Examinons les trois premiers paragraphes du texte que vous venez de lire pour illustrer le truc du " En parlant de... "

 

On m'a souvent fait le commentaire suivant lorsque je donnais des discours à mes débuts : " Je comprends ce que tu veux dire mais tes liens ne sont pas clairs. Ça ne coule pas. "

(Parlant de liens qui ne sont pas clairs...) Pourtant, mon texte était très clair à mes yeux. Je ne comprenais pas. On avait beau m'expliquer. Je n'arrivais même pas à voir où mes liaisons étaient boiteuses !

(Parlant de ne pas voir où mes liaisons étaient boiteuses...) Une bonne amie qui est auteure m'a donné un truc tout simple me permettant de repérer facilement les liaisons faibles ou inexistantes. Elle m'a dit : " Si tu peux commencer une idée par : " En parlant de.... " et que ça a encore du sens alors tu as écrit une bonne transition. "

(Parlant d'avoir du sens...) Est-ce que mon explication a du sens pour vous ? Même si pour l'instant cette technique peut vous sembler bizarre, je vous invite à l'essayer lorsque vous écrirez votre prochain discours.

(Parlant d'écrire votre prochain discours...) La première fois que vous rédigerez un texte de cette façon, vous aurez l'impression d'avoir à vous casser la tête mais je vous le promets, les résultats seront limpides !

(Parlant de résultats limpides...) Bon discours et que vos idées soient claires pour tous !

Bon discours !

 

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 12:00
 
J.A.-Gamache

Avez-vous l'impression de ne pas savoir quoi faire de vos mains ? Quelle sensation désagréable, n'est-ce pas ? Quand on me demande, « Qu'est-ce que je fais de mes mains ? ». Je réponds invariablement : « Rien ! ».

Vos mains servent à renforcer votre message. Lorsqu'elles ne remplissent pas ce rôle, elles devraient être au repos le long de votre corps. De plus, afin d'éviter d'être distrait par elles, concentrez-vous encore plus sur le sens de votre allocution et parlez avec plus d'énergie.

Durant mes premiers discours, je me souviens ne pas avoir su quoi faire de mes mains. J'empoignais le lutrin ou le bord de la table (voir page couverture). S'il n'y avait rien pour m'accrocher, alors mes mains se cramponnaient l'une à l'autre devant moi. Je savais que je n'avais pas l'air naturel mais c'était plus fort que moi. Je restais là, figé, comme une statue de sel.

Pour savoir comment utiliser vos mains, faites l'expérience suivante. Levez-vous. Fermez les yeux et imaginez que vous êtes très calme, respirant profondément. Maintenant où sont vos mains ? La majorité des gens répondent qu'elles sont au repos, de chaque côté de leur corps.

C'est dans cette position que vous devriez laisser vos mains lorsqu'elles ne servent pas à étayer votre message. Pourquoi alors est-ce si difficile de les abandonner de part et d'autre de votre corps ? Parce que vous êtes nerveux. Voilà pourquoi !

Lorsque vous êtes stressé, tout votre corps est tendu. Cette tension se manifeste, entre autres, dans vos bras. Souvent, vous pliez alors un peu les coudes et parfois même vous serrez les poings. Comme cette raideur est inhabituelle, elle attire votre attention et vous vous demandez quoi faire de vos mains. Pour solutionner ce problème, vous agrippez quelque chose.

J'ai une bonne nouvelle. Cette sensation disparaîtra d'elle-même au fur et à mesure que vous prendrez plus d'assurance lors de vos discours publics. Cependant, il faut éviter que les postures figées d'aujourd'hui ne deviennent les mauvaises habitudes de demain.

D'ici à ce que vous soyez à l'aise devant un public, faites l'effort de penser à autre chose qu'à vos mains lorsque vous présentez un discours devant un groupe. Comment ? Soyez encore plus démonstratif ! Mettez plus d'énergie dans votre allocution. Parlez plus fort. Autrement dit, cessez d'être le spectateur de votre discours et devenez-en l'acteur principal.

Lors de votre prochaine présentation, lancez-vous le défi de laisser vos bras pendre le long de votre corps, lorsque vos mains n'interprètent pas votre message, et oubliez-les ! Concentrez-vous plutôt sur ce que vous dites et soyez plus dynamique. Très vite, leur position n'aura plus d'importance, vous les utiliserez au bon moment et vos mouvements deviendront plus naturels.

Bon discours !

 

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 12:00
 
J.A.-Gamache

Parfois, durant un discours, nous devenons très conscient de tout ce qui nous entoure et notre discours intérieur négatif nous conduit à douter de nous-même. Voici comment rétablir la situation : entrez dans l'action !

Lorsque j'étais très nerveux durant mes premiers discours, j'éprouvais une sensation étrange. Tout d'un coup, en même temps que je m'adressais au public, il y avait une petite voix dans ma tête qui, paniquée, observait et commentait tout ce qui se passait : « Celui-là ne me sourit pas et son voisin a les bras croisés. Ils sont sûrement mécontents... Ah non ! Des gens sortent de la salle. Ça y est ! Ils n'aiment pas mon discours... »

Si cela se produit, méfiez-vous des remarques négatives de votre mental. Il se pourrait que l'impression que vous ressentez ne soit pas la bonne. Par exemple, lorsque quelqu'un vous regarde sans sourire, les sourcils froncés, il se peut que cette personne soit tout simplement myope et ait oublié ses lunettes !

Lorsque vous apercevez quelqu'un avec les bras croisés, peut-être que ce spectateur-là a froid. Les gens qui ont quitté à la hâte pouvaient avoir un rendez-vous important et être restés avec vous le plus longtemps possible.

Je me souviens d'une présentation au cours de laquelle les membres de l'auditoire n'avaient pas le sourire et écrivaient continuellement. Pour en avoir le cœur net, après mon discours, j'ai fait part de mon impression négative à l'organisateur. Il m'a répondu, « Oh non ! Au contraire, tout mon groupe est très satisfait. S'ils avaient l'air sérieux c'est qu'ils étaient très concentrés sur ce que vous disiez. Je les connais. C'est un très bon signe lorsqu'ils prennent des notes. » Comme quoi !

Souvent, les commentaires de votre voix intérieure sont trompeurs. De toute façon, même si cette voix avait raison, vous ne pourriez rien y faire ! ! ! Il est prouvé statistiquement que, quoi que vous fassiez, une minorité de votre auditoire sera toujours insatisfaite. Il est utopique de croire qu'on peut plaire à tout le monde. Il y aura toujours quelqu'un pour vous critiquer. C'est inévitable. Le contraire est tout aussi vrai. Il y aura aussi toujours quelqu'un pour trouver que tout ce que vous dites est merveilleux...

Alors, que faire avec votre monologue intérieur négatif ? Ignorez-le tout simplement. Cessez d'être seulement dans votre tête et entrez dans votre corps... et aussi votre cœur ! Impliquez-vous physiquement dans votre performance. Bougez différemment. Mettez plus d'énergie dans votre voix. Parlez plus fort. Mettez l'accent sur vos mots clés.

Entrez dans l'action et très vite vous n'écouterez plus cette petite voix agaçante. Étant captivé par ce que vous dites, vous cesserez de vous inquiéter des jugements de l'auditoire et votre niveau d'énergie augmentera.

Essayez cette formule ! Ainsi, la prochaine fois que vous aurez la sensation d'être l'observateur plutôt que l'acteur principal de votre performance, entrez dans l'action. Impliquez-vous encore plus physiquement. Vous verrez. Vous réussirez à faire taire votre monologue intérieur durant votre discours.

Bon discours !
 

 

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 12:00
 
J.A.-Gamache

Afin d'apprendre à mieux respirer et ainsi diminuer votre stress durant vos discours, décidez à l'avance des passages où vous ferez les pauses nécessaires pour inspirer.

Lorsque nous sommes stressés, nous sommes souvent à bout de souffle. Quand cela se produit, nous arrêtons tout et nous prenons une grande respiration. Et si nous ne le faisons pas, c'est notre entourage qui nous invite à le faire !

Combien de fois, lorsque j'étais stressé, ai-je entendu ma sœur Lucie me dire : « Calme-toi et respire par le nez ! ».

Instinctivement, elle savait qu'en contrôlant ma respiration, j'arriverais à me calmer. Je vous propose donc d'appliquer ce bon vieux principe lorsque vous parlez en public.

Planifiez dans votre texte les endroits indiquant les pauses durant lesquelles vous prendrez le temps de bien inspirer. Vous mémoriserez ainsi vos inspirations comme s'il s'agissait d'un mot faisant partie de votre texte. Voici la méthode que j'utilise.

1- ÉCRIVEZ MOT À MOT TOUT LE CONTENU DE VOTRE DISCOURS

Certaines personnes n'aiment pas écrire leur texte et préfèrent n'avoir que quelques notes relatant les grandes lignes de leur discours. Cette méthode est aussi bonne qu'une autre. Cependant, comme il s'agit ici de pratiquer votre respiration, l'exercice que je vous propose ne peut s'effectuer qu'avec un texte écrit.

2- TRACEZ DES BARRES OBLIQUES (EX. : /) DANS VOTRE TEXTE LÀ OÙ VOUS CROYEZ QU'IL FAUT RESPIRER

Utilisez le système qui vous paraîtra le plus sensé. Personnellement je me sers d'une barre oblique (/) indiquant une pause, de deux barres obliques (//) pour une pause plus longue et de trois (///) pour une très longue pause.

3- LISEZ VOTRE TEXTE À HAUTE VOIX ET NE RESPIREZ QU'AUX ENDROITS OÙ IL Y A UNE BARRE OBLIQUE

Ne trichez pas ! Ne prenez pas une petite inspiration si vous manquez de souffle pour finir une phrase ! Si vous êtes à court de respiration, c'est qu'il faut rajouter une pause dans votre texte.

4- LORSQUE TOUTES LES PAUSES SONT INSCRITES, APPRENEZ VOTRE TEXTE AVEC LES RESPIRATIONS

Lorsque vous présentez un texte par cœur, mémorisez aussi vos pauses. Si vous préférez le lire plutôt que de le réciter, faites-le à haute voix avec les pauses et utilisez le texte avec les barres obliques durant votre présentation.

Cet exercice vous sera utile pour développer une meilleure façon de respirer. Avec un peu d'entraînement, cette nouvelle habitude deviendra une seconde nature. Mais d'ici là, vous constaterez que votre respiration est plus courte, lorsque vous êtes nerveux.

En apprenant votre discours de cette façon, vous ferez vos pauses naturellement et ce, malgré votre stress. Respirant plus aisément, vous réussirez à mieux contrôler votre nervosité. Ainsi, vous serez surpris de l'aisance avec laquelle vous parlerez.

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 12:00
 
J.A.-Gamache

D'une présentation à l'autre, des problèmes surgissent. Anticipez-les et vous diminuerez votre stress. C'est ce que j'appelle prévoir un filet de sécurité.

Avez-vous déjà vu un numéro de trapézistes au cirque ? Comme il est prévisible que tôt ou tard les acrobates puissent faire une chute, on installe un filet pour les protéger. De la même façon, certains problèmes peuvent être anticipés lorsque vous parlez en public. Voici quelques suggestions pour installer un filet de sécurité :

1- AGRANDISSEZ LA TAILLE DES CARACTÈRES DE VOTRE TEXTE.

Éprouvez-vous des difficultés à lire vos notes lorsque vous êtes nerveux ? Durant un discours, il est très désagréable de devoir s'interrompre parce que la lecture des notes est difficile. Ce stress peut être évité en AGRANDISSANT LA TAILLE DES CARACTÈRES DE VOTRE TEXTE.

2- APPORTEZ DU MATÉRIEL SUPPLÉMENTAIRE EN CAS DE BRIS OU D'OUBLIS...

Tôt ou tard, vous oublierez d'apporter quelque chose ou un problème technique se présentera. Par exemple, le jour où l'ordinateur portable, servant à la projection de votre présentation électronique, vous fera défaut, vous vous féliciterez d'avoir pensé à apporter une copie de votre présentation sur disque laser, copie que vous pourrez charger dans un autre ordinateur.

Il se pourrait aussi que l'on vous fournisse un calepin de conférence (« flip chart » en anglais) mais sans qu'il n'y ait de crayons-feutres ou pire encore, on vous en donne, mais ils n'écrivent presque plus ! Ayez toujours en votre possession des marqueurs supplémentaires.

Un autre exemple du même acabit, le jour même de votre présentation, l'organisateur a oublié vos notes de conférence qu'il avait promis de photocopier; ou encore, le maître de cérémonie ne se rappelle plus du texte pour vous présenter. Apportez des copies originales de vos écrits et ce ne sera plus un problème.

3- ARRIVEZ PLUS TÔT À LA SALLE OÙ VOUS PRÉSENTEREZ VOTRE DISCOURS

En arrivant à la salle avant votre auditoire, vous avez la possibilité de vérifier si tout est en ordre et si ce n'est pas le cas, il est encore temps de réagir !

Il m'est arrivé d'entrer dans une salle où l'on avait oublié d'installer un écran pour ma présentation audiovisuelle et où les chaises n'étaient pas disposées de façon à ce que tous les participants puissent bien m'apercevoir. Je me félicitais d'être là assez tôt pour réinstaller la salle convenablement!

Lorsque vous parlerez en public, il se produira souvent des imprévus. Malgré cela, il est possible d'anticiper plusieurs problèmes. Ne soyez plus pris au dépourvu ! Prévoyez un filet de sécurité et vous serez moins anxieux avant votre prochain discours.

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 12:00
 
J.A.-Gamache

Une grande partie du stress ressenti avant de s'exprimer en public peut être évitée en vous prouvant à vous-même que vous méritez le droit de prendre la parole devant le groupe. Pour ce faire, avant votre présentation, soyez certain que vos intentions sont bonnes, que vous possédez la compétence nécessaire pour parler de ce sujet et que vous vous êtes préparé suffisamment.

Trop souvent, nous doutons de nous-mêmes. Lorsque cela se produit, notre monologue intérieur se met en branle soulevant des questions telles que : « Je n'ai rien à leur apprendre...», « Ils sont plus compétents que moi ! », « Que vont-ils penser de moi ? », etc.

N'ayant pas la certitude que nous avons mérité le droit d'être là, nous devenons très anxieux à la simple idée de prendre la parole devant un auditoire. Voici quelques questions à vous poser afin d'éliminer vos doutes et ainsi diminuer votre stress « d'avant le match ».

1- EST-CE QUE VOS INTENTIONS SONT BONNES ?

Avez-vous la détermination de faire du bien aux personnes venues vous écouter ? Êtes-vous convaincu que votre message est important et qu'il pourra rendre service à plusieurs membres de l'auditoire ? Si vous éprouvez le moindre doute, vous devez en modifier le contenu jusqu'à ce que soyez sûr que votre discours mérite d'être entendu.

2- POSSÉDEZ-VOUS LA COMPÉTENCE NÉCESSAIRE POUR PARLER DE CE SUJET ?

Il est normal d'être nerveux lorsque l'on est un imposteur qui tente de se faire passer pour un expert. Est-ce vraiment votre cas ? Vous êtes peut-être trop exigeant envers vous-même!

Il n'est pas toujours nécessaire de détenir de grands diplômes ni une vingtaine d'années d'expérience pour faire un exposé sur un sujet. Vos connaissances personnelles pourraient amplement suffire. Dans le doute, demandez aux gens de votre entourage si, à leur avis, votre vécu vaut la peine d'être partagé. L'important est de ne pas donner une fausse impression de vous-même, sinon vous augmenterez votre stress et avec raison !

3- VOUS ÊTES-VOUS PRÉPARÉ SUFFISAMMENT ?

Autrement dit, êtes-vous prêt ? Avez-vous bien approfondi votre sujet ? Vous êtes-vous suffisamment exercé ? Lorsque vous ne remplissez pas vos engagements, il est normal que vous soyez tendu le jour de votre prestation. Par contre, si en toute conscience, vous êtes persuadé que vous avez fait tout ce qui était possible pour être prêt, vous vous évitez un stress inutile.

Lors de votre prochain discours, soyez certain que vous avez assimilé les trois points mentionnés plus haut à savoir : que vous êtes là pour les bonnes raisons, que vous êtes compétent et que vous êtes suffisamment prêt.

Accordez-vous alors le droit de parler en public ainsi au jour J, vous serez peut-être encore un peu nerveux, mais au moins ce ne sera pas parce que vous doutez de la légitimité de votre présence sur scène.

Bon discours !

 

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 12:00
 
J.A.-Gamache

Un des meilleurs trucs que je connaisse pour diminuer ma nervosité lorsque j'ai à parler en public m'est venu du monde du sport. Il s'agit de la visualisation.

Un jour j'ai vu une entrevue à la télé où une championne olympique de ski relatait qu'un des facteurs les plus déterminants de sa victoire était sa préparation mentale. Elle disait qu'avant de dormir la veille de la compétition, elle visualisait toute sa descente. Elle repassait dans son esprit toutes les bosses et toutes les courbes du parcours. Elle se voyait réussir chaque mouvement avec aisance.

À la toute fin de sa visualisation, elle se voyait même monter sur le podium pour recevoir sa médaille d'or. C'est ce qui lui est arrivé.

J'ai appris à visualiser lorsque j'ai fait moi-même de la compétition dans les concours de discours de Toastmasters. Quelques années avant de participer à la finale internationale aux États-Unis, je me suis rendu à une de leurs conventions. Je me suis faufilé dans la salle de concours lorsqu'il n'y avait personne et je suis monté sur scène. Devant 2000 chaises vides, je me suis visualisé parlant avec assurance à ce grand auditoire.

Par la suite, j'ai visualisé cette scène encore et encore. Je me voyais même tenir mon trophée dans mes bras. J'imaginais ce que je dirais comme discours de remerciement à titre de champion du monde.

Quelques années plus tard, lorsque je me suis qualifié comme finaliste international, afin de rendre ma visualisation encore plus réelle, j'ai fait une répétition avec l'aide des membres de mon club Toastmasters ! Un membre jouait le rôle du président international de Toastmasters annonçant le nom du grand champion : J.A. Gamache ! ! !

Finalement, lorsque je suis monté sur scène à la finale internationale de 2001, j'étais prêt mentalement. Ma visualisation m'avait permis de diminuer considérablement la nervosité que je ressentais à parler devant autant de gens. J'ai obtenu la 3ième place à la finale et en plus, j'ai gagné une nouvelle assurance.

Lors de votre prochain discours, prenez le temps de vous préparer mentalement. Visualisez-vous parlant avec aisance, respirant facilement et surtout ayant du plaisir ! Voyez-vous parler devant un auditoire qui sourit. Imaginez même que vous avez une ovation debout ! Pourquoi pas ?

Si les champions olympiques le font, pourquoi ça ne fonctionnerait pas pour vous ? Visualisez-vous victorieux et faites-le souvent. Cet exercice diminuera vraiment votre nervosité. Vous parlerez avec plus d'assurance et votre performance n'en sera que meilleure.

Bon discours !

 

©MMXI J.A.Gamache
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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 12:00
 
J.A.-GamacheHenri Ford, le fondateur de la marque automobile, a déjà dit : « Il y a des gens qui disent qu'ils peuvent; d'autres qu'ils ne peuvent pas. En général, ils ont tous raison. ». Je crois qu'il faisait référence à notre intuition. Depuis que je me laisse guider par mon intuition, je suis moins stressé lorsque je parle en public.

C'est durant un atelier de mon ami Daniel Giguère, coach d'affaires, que j'ai appris à faire confiance à mon intuition lorsqu'elle me dicte de risquer ou de m'abstenir.


À la fin de sa présentation, Daniel a demandé à tous les participants de se lever pour former un cercle en se tenant par la main. Il les a ensuite invités à chanter avec lui dès les premières notes de :« What a wonderful world » de Louis Armstrong, une belle chanson d'espoir.

Lorsque j'ai vu ce qu'il faisait, un frisson d'horreur m'a traversé le dos. J'étais convaincu qu'il allait à la catastrophe. Mon intuition me disait que l'auditoire ne participerait pas, mal à l'aise de poser un geste aussi intime. Contrairement à moi, l'intuition de Daniel lui disait que ça pouvait fonctionner. Qui de nous deux avait raison? Nous avions tous les deux raison.


QUAND L'INTUITION DIT DE S'ABSTENIR

Mon intuition me disait que c'était trop dangereux et j'avais raison. L'avoir fait, j'aurais échoué lamentablement.

Pourquoi? Parce que lorsque je suis convaincu qu'il est impossible de réaliser une chose, je ne peux pas la mettre en place. À la simple idée de faire comme Daniel, mon instinct de survie m'envoyait un signal clair de danger : un frisson d'effroi. Pourtant, à ma grande surprise, les membres de l'auditoire étaient ravis.


QUAND L'INTUITION DIT DE RISQUER

Tout comme moi, Daniel n'avait jamais animé cet exercice auparavant. Tout comme moi, il savait qu'il prenait un risque. Pourtant, son instinct lui disait que c'était réalisable. Pourquoi? Parce que Daniel avait déjà participé à une chaîne humaine. L'ayant vécu, il savait que l'expérience serait positive pour tous. Lorsque certains participants étaient mal à l'aise comme je l'avais prédit, Daniel les rassurait rapidement avec son grand sourire.

Après avoir vu Daniel à l'oeuvre, ma croyance a changé. Je ne doutais plus qu'il était possible de réussir une chaîne humaine et je l'ai fait durant un de mes ateliers!!!

Malgré ma peur d'échouer, j'ai suivi mon intuition. J'ai invité cent vingt personnes à se tenir par la main pour former un cercle et nous avons chanté ensemble! À la fin de la présentation, mon client est venu me féliciter pour ma finale qu'il a qualifiée d'un des grands moments de ma présentation! J'ai réussi parce que maintenant j'y croyais.

Votre intuition dit non? Abstenez-vous. Votre intuition dit oui? Foncez malgré votre peur! Vous improviserez s'il y a des obstacles. Que ce soit oui, que ce soit non, dans les deux cas VOUS AVEZ RAISON. Suivez votre intuition et vous serez moins stressé sur scène.

Bon discours! 
 

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